Bande d’humains de merde, vous êtes pitoyables.
Vous n’êtes bons qu’à détruire tout ce qui vous entoure.
Vous n’êtes conscients de rien et ne courez qu’à votre perte et à votre propre destruction.
Vous cautionnez la bêtise et le manque de réflexion.
Le mensonge fait partie de vos pauvres vies que vous en soyez conscients ou non.
Vous ne savez même plus d’où vous venez et où vous allez.
Vous avez perdu toute sorte d’identité.
Vous ne cherchez que le profit et ne pronez que l’individualisme constant.
Vous ne vous savez que vous satisfaire de la misère et de la tristesse d’autrui.
Vous réduisez la faune et la flore à néant et ne pensez qu’aux bénéfices personnels.
L’égoïsme permanent dont vous faites part vous a voilé la face et l’esprit depuis bien trop longtemps.
Vous suivez bêtement des sociétés à la dérives et ne savez même plus porter un jugement.
Toute spiritualité a été remplacée par l’argent.
L’amitié, l’amour, les émotions, les sentiments ne sont devenus que de futiles mots sans valeurs.
Vous triez les gens comme vous triez vos vêtements.
Vous vous voilez la face constamment pour vous donner des prétextes et une impression d’avancer, pourtant sans but et sans intention.
Vous n’assumez rien et préférez cautionner la médiocrité, le malaise et l’incompréhension constante.
Vous n’êtes plus capables de guérir,
L’humanité est son propre cancer.
Vous vous comportez comme un virus qui n’a pas d’antidote.
Et vous repoussez continuellement la faute sur tout ce qui se pointe sous votre nez, seule chose que vous arrivez à voir dorénavant.
Vous cherchez à annihiler tous types de différences.
Vous avez peur.
Peur de vous instruire, peur de comprendre, peur d’évoluer, peur d’accepter, peur d’avoir rien qu’une once de volonté.
Le mal et la mocheté ont désormais plus de valeurs que la bonté et la beauté.
A quoi bon grandir, quand la plupart sont satisfaits de leur petiteté.
