Dans l’ombre d’un doute, là où la peur murmure,
Un silence s’installe sur une âme restée pure.
C’est alors qu’une étoile au bord du chemin,
Chuchote : « Ose, profite et tends-moi la main. »
Oser, c’est comme planter une graine de lumière,
Dans le sol rocailleux au dessus des chimères.
C’est défier une falaise, ou la mer en furie,
C’est faire d’un vent contraire une douce harmonie.
C’est comme allumer la flamme au creux du froid,
En éclatant toutes les chaînes du « je ne peux pas ».
Un simple pas réalisé, et le ciel s’élargit,
Et notre cœur, d’un battement, prend un rythme infini.
Chaque peur, une cage d’or parfois insoupçonnée,
Enfin brisée par l’audace d’un beau rêve incarné.
L’échec, un miroir au bord de l’eau, s’estompe,
Révélant des désirs pour qu’on les rencontre.
Oser, c’est danser sur le fil du néant,
De ses chutes, planer, les ailes face au vent.
C’est bâtir des ponts là où parfois tout s’efface,
C’est pouvoir peindre l’inconnu de mille et unes audaces.
Alors les bienfaits, discrets, éclatent soudain :
L’âme s’élève, allégée et libre de ses freins.
Un souffle bien plus vaste envahit la poitrine,
Un royaume clandestin naît où la peur décline.
Alors, ose ! Et fais de ton monde un livre ouvert,
Chacun de tes mots respirent une histoire sincère.
Dans chaque pas tu ressens, la promesse d’une vie,
Car oser, c’est puissant. C’est la clé de l’infini.
Oser