Je donnais de l’amour à foison avant d’subir la trahison,
J’prônais la bienveillance, la logique et puis aussi la raison,
Pour moi l’amitié était forte, je n’me posais pas de question,
C’étaient mes frères, c’était le sang, c’était l’aorte, des vrais maillons.
J’les croyais solides, j’te promets,
Mais perdus dans leur jalousie,
Dès qu’ils ont pu m’assassiner,
Poignard dans l’dos et grand sourire,
La chaîne de l’espoir s’est brisée, quand j’étais faible et abusé.
J’ai trébuché, ils m’ont poussé, dans un trou noir je suis tombé,
J’ai fini seul et j’avais mal, pourtant en quête de liberté,
J’avais tout fait pour ces connards, mais peu importe c’est du passé,
Tel un phœnix, j’suis immortel, hors de mes cendres, j’me suis relevé
Tel un phœnix, j’ouvre mes ailes, pour vous surprendre, fais-moi monter.
