À se demander ce qui peut advenir, effectivement, on ne fait rien.
On reste dans le questionnement et on se conforte dans son immobilité.
On ne vit finalement pas avec un grand V.
Il y tant de gens qui s’ouvrent, partagent, se rapprochent et se dévoilent,
Et qui en clin d’œil, se referment, deviennent froids et mettent les voiles.
Ont-ils peur d’être compris ?
D’un sourire ? D’une envie ?
Ou sont-ils simplement par moment dépourvus de toute vie ?
J’aurais aimé, pour une fois, être surpris.
